Dehors

est un des mots les plus joyeux que je connaisse. « Allez jouer dehors, les enfants » nous disait ma mère et c’était la récréation, été comme hiver.

J’ai toujours ce sentiment de liberté quand je suis dehors. C’est pour ça, peut-être, que que je peins à partir de la nature, parce que je m’y sens bien. Et dès que le temps le permet, je m’installe dehors pour travailler.

Pour des raisons pratiques, à l’extérieur j’utilise des techniques comme l’aquarelle ou le dessin, faciles à transporter. L’important pour moi est de capter la lumière, les couleurs, et me laisser imprégner par la vie autour de moi sous forme de sons, d’odeurs et de sensations diverses.

Voilà pourquoi je serai à l’extérieur de l’atelier autant que possible cet été. J’y reviendrai quand il pleut, et mon travail s’en trouvera bien aise.

Sur le bord de l’eau, Lacs Pinatel, Québec, été 2016