C’est un peu échevelé, ça commence bien.

J’ai mis de côté les gouaches d’hiver et je veux maintenant travailler plus grand. L’esquisse à l’huile ci-dessus est un peu échevelée; je cherche de nouvelles formes d’expression, et je n’y suis pas encore.

Avec le beau temps qui s’en vient, je vais reprendre l’aquarelle et ma vision de la nature comme une grande tapisserie. Vision que j’aimerais aussi transposer en grand format.

Alors je fais des essais à l’huile et à l’acrylique pour voir laquelle de ces techniques me servira le mieux.

Nulle technique n’est plus sensuelle que la peinture à l’huile à mon avis: la matière est moelleuse, les couleurs intenses. J’utilise une grande plaque de verre comme palette: c’est idéal pour mélanger les couleurs et facile à nettoyer. Son odeur m’enivre comme un parfum… intoxiquant!

Le processus de la peinture est toujours une aventure, qui se fait pas à pas sans toujours savoir quel sera le résultat. Mais il y a toujours une avancée.

 

Et c’est à suivre!

 

Louise Jalbert, « Branches », étude, 2018, Huile sur toile, 63 x 80 cm